Parution d'un portfolio de Trouer l’opacité dans 9 Lives, avec un article d’Ericka Weidman
Blog
Spasme, revue littéraire
Les seins blancs paraîtront dans le numéro 3 de la revue Spasme.
Soirée de lancement le vendredi 5 octobre au Bar le 17, 17 Rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris, de 19h-23h
“ Elles sont amies, elles marchent ensemble dans la blancheur des jours. Elles regardent des tableaux, des films, des villes et des paysages. Côte à côte dans la lumière rouge, elles développent des photos et penchées sur la feuille de papier, observent les gris, les noirs et enfin les visages apparaître.”
Rencontre avec les photographes
© Angéline Leroux
Le mercredi 26 septembre à 19:00.
A la Maison de la Photographie Robert Doisneau.
1 Rue de la Division du Général Leclerc, 94250 Gentilly
France Fine Art
Interview des trois photographes, Angéline Leroux, Laure Pubert, Laure Samama, par Anne-Frédérique Fer.
Telerama
Laure Samama, Photographe sans artifice, par Frédérique Chapuis pour Télérama, Sortir
https://www.telerama.fr/sortir/laure-samama,-photographe-sans-artifices,n5771217.php
TV Val de Marne
Reportage réalisé par la Web TV du Val de Marne sur l’exposition Trouer l’opacité à la Maison Doisneau.
Maison de la photographie Robert Doisneau
Rencontre avec les photographes le mercredi 26 septembre à 19:00 à la Maison de la Photographie Robert Doisneau.
© Raphael Serrano - Maison Doisneau
La moitié du fourbi
Publication d'un portfolio Image et texte de 8 pages dans le n°7 de la revue La moitié du fourbi
https://www.lamoitiedufourbi.org/numeros.html
Exposition à la Galerie Immix
Paysage avec corps
Réponse Photo n°303
3 doubles pages dans Réponse Photo...
Une interview sur France Fine art
Lors de l'exposition Trouer l'opacité à la galerie VU', Anne-Frédérique Fer a réalisé un entretien sur le projet exposé. C'est ici
L'amour des hommes perdus par Fabien Ribery
Fabien Ribery a écrit un bel article au sujet de mon livre Ce qu'on appelle aimer, sur son blog. C'est par ici.
Trouer l'opacité à Vu' Galerie
La galerie Vu' a exposé Trouer l'opacité, ainsi que Ce qu'on appelle aimer et mes livres d'artiste du 2 décembre 2016 au 6 janvier 2017
Exposition Le Boudoir 2.0
Entre les doigts et L'enfant et la rivière sont exposés au White gloves corner à Arles.
Commissariat d'exposition Annakarin Quinto. Ils sont en compagnie des livres de Ju Bezerra de Mello, Nathalie Déposé, Mélanie Jane Frey, Lea Habourdin, Florence Galand, Sara Palmieri, Camilla Pongiglione and Zhen Shi
Prix du jury au Festival La photo se livre
Trois de mes livres d'artiste, Entre les doigts, Ce qu'on appelle aimer et La femme-barbecue, ont été sélectionnés pour être exposés à La fontaine obscure, à l'occasion du festival La photo se livre.
Entre les doigts a remporté le prix du jury.
Arnaud Bizalion, Olivier Bourgoin, Raphaël Levi, et Gérald Vidamment constituaient le jury.
https://www.fontaine-obscure.com/pages/galerie_photo_se_livre.htm
http://www.competencephoto.com/Les-quatre-laureats-du-Prix-2016-de-la-Photo-se-Livre_a2812.html
Commissariat d'exposition pour Métamorphoses
Nous avons assuré le commissariat de Métamorphoses avec Thomas Loiseaux et Ingrid Taillandier.
Dans les 650 m² de ce garage ont été exposés 13 artistes, Sabrina Morel, Gianluca Gamberini, Pauline Bazignan, Jesus Zurita, Charles Kalt, François Chanussot, Karin Crona, Stéphane Barroux, Carlos Leon, Annakarin Quinto, Gaela Blandy, Jean Gabriel Lopez.
A cette occasion, la première édition des Photographes se font des films a été diffusée, en collaboration avec Marie Docher. Nous avons projeté 12 films de photographes, Fanny Bruno, Clara Chichin, Karin Crona, Marie Docher, Michael Duperrin, Gertrud Fischbacher, Vincent Gouriou, Sharon Harper, Ilka Kramer, Annakarin Quinto et Laure Samama.
Une vidéo de cet événement a été réalisée par Nilton Almeida
Publication YAP magazine
Un article de Anne-France Laugel sur l'exposition Métamorphoses, dont j'ai assuré le commissariat d'exposition avec Thomas Loiseaux et Ingrid Taillandier.
http://www.yap-magazine.com/category/beaux-arts/article/metamorphoses-lexposition
Exposition au Musée de l'Eternelle
Février 2016
Le musée de l’Eternelle a exposé Tes mains s'effacent et projeté les vidéos qui accompagnent ce projet : 4"33, On ne trouble pas l'intimité des chambres à coucher et L'enfant et la rivière.
Texte critique L'invention du vide
« L’œil, d'abord, glisserait sur la moquette grise d'un long corridor, haut et étroit. » Perec, Les choses.
On entre.
Tout d'abord, on est frappé par la maculation inattendue qui nous accueille.
Le large blanc disparaît au profit de l'image, immédiate, qui s'impose à nous, sans violence aucune.
On entre comme si on regardait par une fenêtre ouverte.
Dehors, de l'autre côté : la vie.
Et de spectateur, on devient acteur, vivant dans le vivant, voyant enfin.
La page est claire, ordonnancée comme, architecturale et évidente et malgré l'absence absolue de repère de marche à suivre ou mode d'emploi, on s'approprie le plan.
Le voici qui devient nôtre, ouvert. Offert.
Alors, on entre.
Où l'on parle de clarté, Laure nous propose de « trouer l'opacité ».
Quelle meilleure entrée en matière, entrée en la matière ?
Mémoire, Avenir, Trouée … Invention du vide.
La fenêtre s'ouvre, enjambons-la, passons de l'autre côté du miroir.
Les choses s'improvisent lumière, obscurité, vide, poussière, main qui cherche, qui trouve.
Découverte, Désirade.
Le vide s'efface, la forme se devine, se détache.
Le cliché comme le regard deviennent les nôtres.
L'intime se dévoile, nous restons silencieux ;
La pudeur nous envahit.
On passe d'un tableau à l'autre, d'une histoire muette à l'autre, d'une humanité à l'autre et c'est d'ailleurs par son sens profond de lire l'humanité brute que Laure nous permet de redécouvrir la nôtre.
Nous allons passer beaucoup de temps à feuilleter ces tranches nettes de vie grouillante ou silencieuse, ces buissons de murmures, main d'attente au rebord d'une fenêtre, envahissement grouillant de la fête foraine.
On quitte le parcours de l'architecte pour prendre pied sur le chemin de la photographe.
On sent sa main qui enserre la nôtre.
On a envie de se laisser guider.
Pourquoi d'ailleurs ne pas se laisser guider ?
On entre chez Laure et voilà que nous sommes chez nous.
Alban Koziol
Commissariat d'exposition pour Après l'orage
Novembre 2015
“Après l’orage la tension se relâche et laisse la part belle au rêve. Fin d’un violent éblouissement, début du songe. Six photographes de L’image latente se sont emparés de ce thème, avec poésie, espièglerie, et toute l’ombre inhérente à la lumière.”
Commissariat avec Karin Crona pour L'image latente de l'exposition Après l'orage, chez Cadre exquis, rue Doudeauville, Paris 18ème.
Avec des photographies de
Daniel Danzon
Sophie Knittel
Ingrid Milhaud
Clémentine Moranville
Anaïs Pachabézian
Elena Shmagrinskaya